This study describes clinical and ultrasonographic findings and outcomes of horses with lameness associated with muscle tears. Records of horses diagnosed with muscle tears were retrospectively evaluated. Horses in which one or more muscle tears were confirmed ultrasonographically and lameness was associated with the tear were included in the study (n = 14). Eight horses had tearing of a single muscle, 6 horses had 2 or more muscles involved. Twelve of 14 horses survived to discharge and were alive at follow-up (8 to 90 months). Recovery time ranged from 6 to 52 weeks (mean: 19.8 weeks); 6 to 16 weeks for single muscle injuries and 12 to 52 weeks for multiple muscle injuries. Of the 12 long-term survivors 3 had chronic lameness/stiffness preventing return to their previous activity level and 9 returned to equal or greater level of activity. No statistically significant difference existed between outcomes and location of injury or number of muscles injured. Key clinical message: This study indicates that conservative management of muscle tears can result in favorable long-term outcomes.
Déchirures musculaires comme cause primaire de boiterie chez des chevaux: 14 cas (2009–2016). La présente étude décrit les trouvailles cliniques et échographiques ainsi que le devenir de chevaux avec une boiterie associée à des déchirures musculaires. Les dossiers de chevaux diagnostiqués avec une déchirure musculaire furent rétrospectivement évalués. Les chevaux chez qui une ou plusieurs déchirures musculaires furent confirmées par échographie et dont la boiterie était associée avec la déchirure furent inclus dans l’étude (n = 14). Huit chevaux avaient une déchirure de seulement un muscle, 6 chevaux avaient 2 muscles ou plus d’impliqués. Douze des 14 chevaux ont survécu jusqu’au congé et étaient vivants lors du suivi (8 à 90 mois). Le temps de guérison varia de 6 à 52 semaines (moyenne: 19,8 semaines); 6 à 16 semaines pour une blessure à seulement un muscle et 12 à 52 semaines pour des blessures musculaires multiples. Parmi les 12 survivants à long-terme, trois avaient une boiterie chronique/raideur empêchant un retour à leur niveau d’activité antérieur et neuf retournèrent à un niveau d’activité égal ou plus grand. Aucune différence statistiquement significative n’existait entre le devenir des chevaux et la localisation de la blessure ou le nombre de muscles blessés.Message clinique clé:Cette étude démontre qu’une gestion conservatrice des déchirures musculaires peut résulter en une issu favorable à long terme.(Traduit par Dr Serge Messier).
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