Hospital-based infection control in veterinary medicine is emerging and the role of the environment in hospital-acquired infections (HAI) in veterinary hospitals is largely unknown. This study was initiated to determine the recovery of Escherichia coli and selected veterinary and zoonotic pathogens from the environments of 101 community veterinary hospitals. The proportion of hospitals with positive environmental swabs were: E. coli--92%, Clostridium difficile--58%, methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA)--9%, CMY-2 producing E. coli--9%, methicillin-resistant Staphylococcus pseudintermedius--7%, and Salmonella--2%. Vancomycin-resistant Enterococcus spp., canine parvovirus, and feline calicivirus were not isolated. Prevalence of antimicrobial resistance in E. coli isolates was low. Important potential veterinary and human pathogens were recovered including Canadian epidemic strains MRSA-2 and MRSA-5, and C. difficile ribotype 027. There is an environmental reservoir of pathogens in veterinary hospitals; therefore, additional studies are required to characterize risk factors associated with HAI in companion animals, including the role of the environment.
Escherichia coli et certains pathogènes vétérinaires et zoonotiques isolés dans l’environnement des cliniques pour animaux de compagnie dans le Sud de l’Ontario. Le contrôle des infections à la clinique vétérinaire est un domaine émergent et le rôle de l’environnement pour la contraction d’infections nosocomiales (IN) dans les cliniques vétérinaires est largement inconnu. Cette étude a été entamée pour déterminer la récupération d’E. coli et de certains pathogènes vétérinaires et zoonotiques dans l’environnement de 101 cliniques vétérinaires communautaires. La proportion des cliniques avec des écouvillons environnementaux positifs était : E. coli — 92 %, Clostridium difficile — 58 %, Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) — 9 %, CMY-2 produisant E. coli — 9 %, Staphylococcus pseudintermedius résistant à la méthicilline — 7 % et Salmonella — 2 %. Les pathogènes Enterococcus spp. résistant à la vancomycine, parvovirus canin et calicivirus félin n’ont pas été isolés. La prévalence de la résistance antimicrobienne dans les isolats d’E. coli était faible. Des pathogènes vétérinaires et humains potentiels importants ont été récupérés, incluant des souches épidémiques canadiennes de SARM-2 et de SARM-5 et de C. difficile ribotype 027. Il y a un réservoir environnemental de pathogènes dans les cliniques vétérinaires; par conséquent, des études additionnelles sont requises pour caractériser les facteurs de risque associés aux infections nosocomiales chez les animaux de compagnie, y compris le rôle de l’environnement.
(Traduit par Isabelle Vallières)